Le festival Cinémarges poursuit son travail de dévoilement des pratiques dissidentes, critiques ou minoritaires en programmant des artistes et cinéastes dont le travail contribue à déstabiliser les limites des genres et les normes sociales et sexuelles. Cette 12ème édition s’intéresse aux liens entre littérature et cinéma. Wojnarowicz, Acker, Genet et Guibert ont recours à l’image comme espace de fabrique de soi, qu’il s’agisse de journal intime, d’autofiction, de pamphlet ou de poésie. De même, les pratiques artistiques inscrites jusque dans les corps de Lazlo Pearlman et de Genesis Porridge se nourrissent de leurs identités mouvantes. La carte blanche au Festival identit pose un regard critique sur l’articulation entre le combat des trans et le mouvement gay dominant (Screaming Queens). Réflexion prolongée par maxime Cervulle qui analyse les effets de l’ «homo-normalisation » et par Geneviève Sellier qui interroge les rapports sociaux de sexe au cinéma. Cinémarges s’emballe cette a
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