Autant le dire tout de suite, en 2006 avec la sortie de son album Rudebox , qui réussissait la prouesse de rendre le terme "Horreur" , synonyme d' "Erreur" (et c'est peu dire tellement ce disque était consternant), j'avais tout simplement fait le deuil de Robbie Williams, malgré son sourire ultra-brite et ses tatouages sexy. Celui qui s'était distingué dès ses débuts, comme trublion de Take That, était pour moi définitivement fini, irrémédiablement largué aux oubliettes, à tel point que l'annonce de la sortie imminente de son nouvel opus m'avait laissé de glace, surtout peu de temps après que je tombe sur des photos du nounours grassouille qu'il était devenu ... Et puis je me suis senti à nouveau séduit, grâce à "Bodies", ce premier titre inattendu, lâché en pâture aux médias, furieusement épique, apocalyptique même, complètement surprenant avec ses arrangements à la fois très classiques, ses violons, ses cuivres, ses chant
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