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Articles

Exposition Trans Egeria

1969 Stone Wall New-York - Principe de Jogjokarta 2006, il aura fallu 37 ans pour que les Nation Unis donnent aux transgenres et plus globalement au LGBT, le droit d’exister sans discrimination en application de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. En 2011, les transgenres sont librement visibles dans les pays qui appliquent cette déclaration jusqu’à devenir icônes fashion qui provoquent plus que jamais des fantasmes, mais aussi les non-dits et parfois rejets. La reflexgallery et son curator Frédéric Fontan, souhaitent mettre en avant la communauté transgenre notamment au travers de ses égéries qui ont milité et permis par leur combat personnel et communautaire de devenir visibles et mythiques. Cette exposition est un hommage et un témoignage qui cultivent habillement ambiguïté, confusion des genres et regard nouveau sur le mythe « trans » au travers du prisme de l’art et de la mode. En partenariat avec Inter-LGBT, « Trans Egeria » met en lumière les muses, les performe

DVD : The World is Big

Après un accident de voiture, Alex, un jeune homme d’origine bulgare élevé en Allemagne, devient amnésique. Pour tenter de le guérir, son grand père organise son retour dans son pays d’origine, la Bulgarie. Ce périple initiatique à travers l’Europe permettra à Alex de retrouver sa mémoire et son identité. BONUS Avant-première du film & Interview du réalisateur Bande-annonce Galerie photos Filmographie PRESSE " The world is big nous ouvre la route " Brazil " Une fantaisie très slave " Envy " Un road movie initiatique dopé à l'âme slave " Studio *** " Touchant et original " toutlecinema.com " Un feel-good movie agréable et intelligent, à l'interprétation impeccable " excessif.com " Une oeuvre forte, belle et humaniste " La Croix " Un voyage initiatique joliment nostalgique " A Nous Paris " Ce tandem movie fait chaud au coeur " TGV Magazine " Magnifique (...) On pleure, on espère, on r

4, Beyoncé

Le quatrième album solo de Beyoncé, tout simplement intitulé 4, est enfin paru ce Lundi 27 juin 2011 ! Le successeur de "I am... Sasha Fierce" , qui marque aussi sa rupture définitive d'avec son père en tant que manager, a nécessité une année complète d'enregistrement du printemps 2010 au printemps 2011, période durant laquelle Beyoncé prenait du temps loin des projecteurs. Un laps de temps qu'elle a aussi passé à écouter de nombreuses musiques qu'elle aime et qui crée un véritable éventail musical qui se retrouve dans l'album. L'album, produit notamment par Chad Hugo, des Neptunes, et Tricky Stewart qui a notamment travaillé avec Britney Spears, reste un mix équilibré entre titres R'n'B up-tempo et ballades enivrantes dont seule Beyoncé a le secret ... 4, le titre de cet album ne signifie pas seulement qu'il s'agit du quatrième album solo de l'artiste et que 4 est son jour de naissance, l'artiste l'aurait appelé ainsi

En avant pour la Lesbian and Gay Pride de Marseille !

CitéGAY , partenaire de la Lesbian and Gay Pride de Marseille, vous donne rendez-vous dès le Mercredi 29 Juin pour 3 jours non-stop de festivités, de découvertes culturelles, d'échanges, de rendez-vous conviviaux et de militantisme LGBT. MERCREDI 29 JUIN : DANSE Ca commence sur des chapeaux de roue dès le Mercredi 29 Juin avec le spectacle de danse latino-américaine Dolores , (chorégraphie de Jomar Mesquita) autour de l'univers de Pedro Almodovar, précédé d'un apero-tapas réservé aux titulaires des billets pour le spectacle(10 à 20euros au 0491990250, mot de passe "pride2011" Cette première journée se conclura sur les dancefloors, avec la soirée Love-Boat sur le Yacht ... Ambiance de folie Quai des Douanes dès 23h00 ... JEUDI 30 JUIN : CONCERTS ET CINEMA Le lendemain Jeudi 30 Juin on ne s'endort pas sur ses lauriers, avec l'ouverture de la brasserie des Danaïdes, place Stalingrad (Marseille 1er) - Accès libre et gratuit ... De 18h30 à 00h00 : Apero Ta

500 000 personnes ont défilé à Paris lors d'une marche des fiertés très politique

L'édition 2011 de la traditionnelle Marche des Fiertés Gay, Lesbiennes, Bi et Trans parisienne a remporté une fois de plus un beau succès, véritable cocktail de fête et de tolérance, mais aussi plus revendicative que jamais à l'approche de la présidentielle... Plus d'un demi million de participant(e)s (selon les organisateurs, car la préfecture de police, sans rougir, n'en a recensé, elle, que 36 000) a foulé le bitûme afin de réclamer l'égalité des droits entre homosexuel(le)s et hétérosexuel(le)s, scandant le mot d'ordre «En 2011, je marche, en 2012, je vote!» , et célébrant du même coup l'annonce faite la veille de la légalisation du mariage homosexuel dans l'Etat de New York. Sur les bannières on pouvait lire les slogans : « En 2012, je vote » ou encore « Mêmes familles, mêmes droits », et bien sûr «En 2011, je marche, en 2012, je vote!». Une marche résolument politique, pour laquelle Nicolas Gougain , porte-parole de l'Inter-LGBT, principal o

New-York : La Gay Pride célèbre la légalisation du mariage homo

Vendredi 24 Juin 2011, après deux semaines de discussions intenses, le Sénat de New York a enfin approuvé par 33 voix favorables contre 29 défavorables un projet de loi reconnaissant le mariage entre personnes de même sexe et le rendant possible dans l'état de New-York à partir du 24 Juillet prochain. Le projet, intitulé "Loi sur l'égalité du mariage" , avait déjà été validé quatre fois par l'Assemblée, mais avait dû finalement essuyer un refus de la part du Sénat, sachant que le document avait besoin de 32 voix sur 62 pour être adopté. Désormais adopté, celui-ci prévoit toutefois que la légalité des unions ne pourra être opposée aux organisations religieuses, qui s'opposeraient par exemple à l'organisation d'une cérémonie de mariage. De manière historique, l'état de New-York devient ainsi le sixième, et de loin le plus important aux États-Unis, à reconnaître le mariage entre personnes de même sexe. La nouvelle rendue publique a instantanément fai

Livre : Le cheval bleu de ma folie

La quête obsessive, et le plus souvent frustrée, de l’amour est le thème fondamental de toute l’oeuvre de Federico Garcia Lorca , depuis la prose et les poèmes de l’adolescence jusqu’à La maison de Bernarda Alba, sa dernière oeuvre. Mais ce n’est qu’aujourd’hui, après des décenies de silence, d’occultations et de pudibondries qu’il est possible d’analyser cette oeuvre à la lumière de l’homosexualité du poète, impossible à assumer dans une Espagne intolérante et machiste. Dans ce livre passionnant et passionné, le grand hispaniste Ian Gibson analyse minutieusement les écrits intimes du jeune Lorca, imprégnés d’angoisse sexuelle, et jette une lumière neuve sur l’oeuvre du poète, déchiré entre le chrétien et le dionysiaque, entre la chair et l’esprit, qui, en dépit de tous les obstacles a tenté de vivre et d’écrire sans jamais se trahir. Ce livre constitue un apport essentiel et bouleversant à l’oeuvre de Federico Garcia Lorca et s’adresse à tous ceux qui aiment sa poésie, qu’ils en soien